Au président français Emmanuel Macron Cependant, au Japon, les «institutions médicales» «refusent de voir un médecin» en raison d'une pénurie de personnel comme les médecins et les infirmières.
Au président français Emmanuel Macron J'ai soumis des informations supplémentaires au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies (ohchr). J'ai lu un article qui traduisait la couverture de France AFP. L'arrestation et la séquestration de "Carlos Gone" viole les articles 9, 10 et 11 de la "Déclaration mondiale des droits de l'homme". Et parce qu'il viole les articles 9, 10 et 14 du «Pacte international relatif aux droits civils et politiques», le Groupe de travail des Nations Unies l'a repris. «J'ai» également soumis des «documents supplémentaires» de «ce point de vue». Le Japon n'a pas ratifié le "système de notification". Cependant, les avocats de M. Gone, François Jimeret et Jessica Finnell, des «plaintes» au gouvernement japonais ont été débattues au sein du groupe de travail. Dans l'affirmative, mes "plaintes" devraient également être traitées par le "Groupe de travail sur la détention arbitr...